- La division des mots en fin de ligne respecte l'original.
- Les coquilles et erreurs manifestes de l'original ne sont corrigées que dans les versions régularisées.
- Les mots illisibles ou manquants sont réintroduits chaque fois qu’il est possible de les reconstituer.
- La présentation du texte suit d'aussi près que possible la disposition et les choix typographiques de l'ouvrage collationné.
- Les lettres ornées sont transformées en petites capitales ordinaires.
- Dans les versions régularisées, les i/j et u/v sont dissimilés ; à / a, où / ou, là / la sont distingués.
- L’accentuation est réintroduite sur les participes passés des verbes du 1er groupe et les mots finissant en -é
- Quand elle existe, l’accentuation du texte source est respectée, sauf si son maintien crée une ambiguïté et compromet la bonne compréhension du texte (par exemple « né » à la place de « ne/ni »).
- Les cédilles sont introduites dans les versions régularisées lorsqu’elles manquent dans le texte source.
- Les abréviations, y compris les tildes et les esperluettes, sont maintenues dans la version originale - diplomatique, résolues dans toutes les autres versions.
- Dans les versions régularisées, les apostrophes sont réintroduites lorsqu’elles manquent, supprimées lorsque leur présence compromet la bonne compréhension du texte (par exemple « d’advantaige » et « dadvantaige »), décalées quand l'usage actuel l'exige.
- Les mots agglutinés sont séparés dans les versions régularisées.
- La ponctuation et l’usage des majuscules de la source sont respectés dans les versions originales, corrigés dans les versions régularisées lorsqu’ils compromettent la bonne compréhension du texte ou qu'ils contreviennent radicalement à l'usage actuel (par exemple « le carquois D'amour » pour « le carquois d'Amour »)
Reste à faire et les choice
Entre le moment où Marguerite de France perd sa dernière sœur et la date de la publication imprimée
Cette pièce est liée à la précédente (cliquer ici) et composée dans les mêmes circonstances. Après la tante, le poète sollicite la nièce. On remarquera toutefois que Sainte-Marthe s’adapte à sa destinataire : ici, il passe sous silence la dimension religieuse de ses malheurs, alors qu’il l’évoquait très explicitement dans l’épitre adressée à Marguerite de Navarre.
Notons également que Marguerite de France, née en 1523, est la plus jeune des sept enfants légitimes de François Ier. Ses quatre sœurs aînées sont mortes au moment de la publication de fille unique du Roy
" tandis que Henri est le seul survivant parmi les trois garçons de la fratrie.